Artistes

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  • JonOne

    John Andrew Perello alias JonOne est né en 1963 à New York. Il commence le graffiti à la fin des années 70 en écrivant son nom dans la ville et sur les rames de métro. "Ce qui m’a vraiment amené au tag a été de voir les autres peindre des graffitis dans toute la ville” C’est à cette époque qu’il rencontre A-One qui avait l’habitude de traîner avec Jean-Michel Basquiat. "A-one était le lien entre la rue et le monde de l’art. Il voyageait en Europe et revenait avec beaucoup d’argent, simplement grâce à son art. J’écoutais ses récits de voyages et mes yeux brillaient d’envie", poursuit-il. En 1984, Jon fonde le groupe 156 All Starz, numéro de sa rue. Il devient alors Jon156 puis JonOne. En 1985, JonOne commence à peindre sur toile en s’entêtant à reproduire l’élément fondateur de son style : la vision d’une rame de métro graffée engendrant des traînées de couleurs avec la vitesse. Ce qui distingue JonOne des autres artistes graffiti est précisément son attention apportée à l’agitation et au mouvement de la couleur plutôt qu’à la figuration.

  • Speedy Graphito

    Artiste précurseur d’avant-garde, reconnu comme l’un des pionniers du mouvement " Street’Art " français (Art contemporain urbain), Speedy Graphito s’impose aujourd’hui internationalement comme l’un des artistes majeurs de sa génération. Aussi prolifique qu’inventif, SG utilise toutes les formes d’expression - peinture, sculpture, installation, photo ou vidéo, pour créer à travers son œuvre et au fil des époques un langage universel imprégné de l’air du temps

  • Gaël Davrinche

    Gaël Davrinche est un peintre français né en 1971. Il vit et travaille à Montreuil. Diplômé de l’Ecole nationale supérieure des Beaux-Arts de Paris en 2000, professeurde dessin contemporain et de peinture aux Ateliers de Sèvres depuis 2007, il mène depuis lors une carrière artistique internationale, collaborant à des expositions aussi bien en Europe (France, Italie, Allemagne, Belgique, Royaume-Uni, Suisse, etc.) qu’en Asie (Chine, Hong Kong, Corée du Sud). L’œuvre prolifique de Gaël Davrinche, qui se décline sous la forme de peintures, dessins, sculptures ou encore estampes, réinvestit principalement les genres classiques du portrait et de la nature morte dans un dialogue plastique entre la tradition et la déconstruction complète de cette dernière.  L’artiste n’a en effet de cesse de creuser, fouiller, puiser au cœur de l’Histoire de l’Art dans les œuvres de ses illustres pairs ce qui fait selon lui l’essence-même de la peinture. Empruntant fréquemment au registre graphique de l’enfance, il cite et caricature avec humour leschefs d’œuvres de l’art européen dans le cadre d’une série fleuve nommée « Les Revisités », entamée il y a une douzaine d’année et dont l’on décèle encore les soubresauts dans sa production actuelle. Posant la question de la légitimité du portrait peint, à l’heure où la commande n’existe plus, Davrinche affine sa pensée au fil des ans, notamment avec les séries « Under the skin » ou « Kalashnikov ». Fondamentalement libre, son geste se fait tantôt incisif et nerveux, tantôt parfaitement minutieux. L’audace avec laquelle l’artiste alterne les styles, passant du réalisme savant à l’expressionnisme le plus spontané, illustre tout l’attachement à la peinture en tant que médium aux possibilités encore inépuisables, bien que la critique ait maintes fois annoncé le contraire. Parfaitement complémentaires, les « Memento Mori » apportent une respiration songeuse à l’œuvre de Gaël Davrinche. Dans cette série de dessins et de peintures représentant des fleurs fanées, l’artiste aborde par le prisme de l’allégorie le thème intemporel du cycle de la vie et dresse finalement en creux le portrait de l’homme face à sa propre inquiétude existentielle. Un sentiment intime, universel qu’il vient explorer avec beaucoup de poésie.

  • Micky Clément

    Micky Clément, photographe français, vit et travaille à Paris. Il s’inspire d’éléments urbains et naturels pour réinventer des paysages qu’il définit lui-même comme des décors de pièces de théâtre, dans lesquels le spectateur est invité à projeter son imaginaire. Volontairement empirique, sa pratique se nourrit des accidents de retouches numériques. Privilégiant la lumière naturelle dans ses prises de vues, il fractionne ensuite l’espace de l’image en zones graphiques particulières évoquant chacune une possibilité de fuite.

  • Vincent Fournier

    Vincent Fournier est un artiste photographe français dont le travail explore les univers des grands récits utopiques et futuristes. Ses œuvres font parties des collections permanentes du Metropolitan Museum of Art (MET) à New York, du Centre Pompidou à Paris, ou encore la collection LVMH.

  • Bruno Gadenne

    Bruno Gadenne vit et travaille à Paris.Bruno Gadenne est un globe trotter, un voyageur. Il est mu par le désir puissant d’aller expérimenter et vérifier la beauté du monde. Celle des paysages primordiaux, de la jungle, de la forêt primaire et d’autres terres lointaines. Une attitude romantique contemporaine dans laquelle il accumule, sur des carnets de croquis et dans sa mémoire, des réminiscences et les « rêveries d’un promeneur solitaire »1 qu’il ramène à l’atelier. Ces paysages qui ont été traversés par le corps du peintre sont retranscrits sur la toile à partir de photographies prises par lui-même et retravaillées sur ordinateur. Le traitement des images crée une subtile déformation de la lumière, une étrangeté alliée à un émerveillement qui demeure intact. Extrait du texte de Juliette Fontaine, 2018

  • Mahjoub Ben Bella
  • Nicolas Dhervillers
  • Justin Weiler

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  • Taille en cm : 73 x 60
  • Taille en cm : 100 x 100
  • Taille en cm : 134 x 165